Présentation
SPORTS LOISIRS ORLEATOIS vous invite à O R L E A T Puy-de-Dôme 15 mn de Clermont-Fd ou de Thiers par l’autoroute A 89 – sortie 28 (Clermont-Fd Lyon) – 5 mm de Lezoux Les 22 et 23 septembre 2018 17ème édition du Festival d’Art «Couleur Automne» avec une palette d’artistes internationaux, nationaux et régionaux Invités d’honneur : ABEL – Aquarelle EJOUMALE – Aquarelle Paul BILLARD – Sculpture Emmanuel DA SILVA – Sculpture Christine DUMONT – Pastel Hélène FAUGERAS-MORIN – Technique Mixte Daniel GERMAIN Pastel Danielle GRENIER – Pastel Martine LE CALONNEC – Linogravure Violette MAZZIA – Sculpture Christine SECHER – Aquarelle Jeanne-marie TEINTURIER Peinture sur bois Graffeurs de K-NYON COAST Les ateliers de peinture et de sculpture de S.L.O. Nombreuses démonstrations de peinture et de sculpture 7 salles d’expositions situées dans le bourg d’Oriéat Entrée gratuite : de 10h à 12h et de 14h à 19h les 22 et 23/09/2018 Le 23 septembre 2018 Initiation à ‘écriture Graff : 14h à 18h avec les Graffeurs de l’association K-NYON COAST Concours de peinture sur le thème des étangs et leur environnement Ouvert à tous — Inscription à partir de g h sur la place de l’église dOrléat Randonnée « La Ronde des Etangs » de 9 Km environ (où sont installés les peintres en action) organisée par le Syndicat d’initiative Départ et inscription à partir de 12 h 30 dans le bourg d’Orléat Venez nombreux Renseignements : 06 95 29 12 08 – bernard.villetorte10Qorange.fr – www.slo63.fr Les restaurants Le VIEUX FOUR et I’ARDOISE proposent aux visiteurs un repas « Peintre » le samedi 22 et le dimanche 23 septembre à partir de 12 h.Les Invités d'honneur
Nos amis indiens de Pondichéry nous font le plaisir d’exposer dans notre village une deuxième fois. Leur talent est tel que nous ne nous en lassons pas ! Abel, issu d’une famille modeste d’agriculteur, est né dans la campagne profonde de son pays et en garde un grand attachement à la vie paysanne et à toutes les manifestations de la vie sociale et religieuse rurale.Aquarelliste, diplôme de l’académie de Pondichéry, il a été récompensé plusieurs fois en Inde du Sud lors de concours et de festivals.
Après avoir travaillé dans une entreprise de vêtements où il créait des dessins, il a décidé de s’installer dans son propre atelier. Abel a délaissé l’huile pour se consacrer à l’aquarelle.
Il habite Pondichéry mais effectue des retours réguliers dans les champs et les rizières de son enfance qui l’inspirent beaucoup.Il apprécie beaucoup de saisir les instants de la vie quotidienne, les femmes dans la rue ou au marché, les danseuses de danse traditionnelles
Né en 1976 d’une famille d’agriculteurs, j’ai fait mes études à l’école des Beaux-Arts de Pondichéry. J’y ai appris la sculpture, la peinture à l’huile un peu tous les médias grâce aux professeurs qui ont su nous transmettre leurs savoirs. Au bout de 3 ans, j’ai fait une spécialisation en peinture.
Mon inspiration est essentiellement basée sur la culture indienne qui est très ancienne et traditionnelle et j’ai choisi l’aquarelle pour évoquer avec beaucoup de justesse les scènes réalistes de la vie quotidienne de Pondichéry et des environs.
Le style de vie des gitans et nomades de la communauté NARIKORAVARTS, les scènes de marché, les temples et les monuments, les petits marchands, les conducteurs de rickshaw sont des sujets que l’on retrouve souvent dans mes aquarelles. J’apprécie aussi beaucoup le portrait et je ne peux ignorer la place de l’humain dans la création.
Je raconte avec mes pinceaux et la magie des couleurs ce que les mots ne peuvent traduire .C’est un pur étonnement de voir naître ainsi dans la transparence et la légèreté de l’aquarelle les vibrations de la vie Que ce soit dans la quiétude des villages, dans le grouillement des rues, dans le bruissement des arbres, dans la course des nuages, les jeux d’ombres et de lumière donnent merveilleusement corps à cette transparence qui me fascine.
J’aime attraper, sur le vif, ces mouvements de lumière dans les reflets de l’eau qui révèlent pour moi la spiritualité de la nature. La fraîcheur et les ondulations lumineuses de l’eau semblent lever les obstacles et les incertitudes de la vie. J’ai encore tant de chemins à parcourir … tant à offrir à travers ma peinture, tant de portes à ouvrir, tant de regards à capter pour vous faire admirer la beauté du monde . Artiste de notoriété internationale participe à de nombreuses expositions collectives ou individuelles dans le monde entier. Galerie d’Art # 67, Vysial street, Puducherry – 605 001. South India.PAUL BILLARD
A l’époque, 35 ans déjà !!!! j’avais suivi des cours de sculpture sur bois avec Henri Murail et j’ai abandonné cette activité par manque de temps pour raisons professionnelles. C’est alors que j’ai découvert l’aquarelle et ensuite le pastel, moins gourmands en temps libre.
Retraité en 2011, j’ai repris d’abord le modelage et la poterie raku.
En 2014, j’ai fait, par une amie, la connaissance de Claude Bertrand , sculpteur sur marbre chez qui j’ai suivi 3 stages ce qui m’a amené à travailler chez moi le schiste bleu d Abbaretz.
Le schiste bleu, en plus d’être emblématique de la région, est un matériau assez difficile à maîtriser par sa fragilité mais d’une belle couleur gris bleu dont le poli soutient parfois la comparaison avec certains matériaux nobles comme le marbre.
Jean Fréour a fait de magnifiques sculptures dans cette pierre. Pour ma part, j’essaie d’en tirer des formes stylisées aux lignes fortes. J’aime l’opposition du gris bleu avec des surfaces laissées « brut » d’oxydation qui ont une couleur rouille. Toujours curieux de nouvelles techniques, je travaille aussi l’albâtre.
Réflexion sur la sculpture
La sculpture, pour moi, plus encore que la peinture est un défi : en effet, d’un bloc informe, tirer des lignes et des volumes simples est une recherche de l’harmonie. C’est d’elle que naîtra, plus tard, l’émotion, plus pour moi que de la «ressemblance »,
Le sculpteur est artisan, comme mes grands pères, ébéniste et menuisier, mais, il est aussi artiste, puisqu’il invite le spectateur à découvrir, même à travers un matériau aussi ‘pauvre’ que le schiste, la beauté cachée que notre regard sur le monde a perdu l’habitude de rechercher.
Participe à de nombreuses expositions personnelles ou collectives soit en tant que Pastelliste chevronné ou sculpteur.EMMANUEL DA SILVA
Certains se réfugient dans la solitude parce que le monde tel qu’il est les attriste, les inquiète, leur fait mal. Je suis de ces personnes qui pour éviter que la société ne les enferme dans sa folie furieuse, s’est enfermé dans son atelier. Durant trente ans, c’est dans la solitude de mon atelier que j’ai élaboré des techniques, d’abord la technique du bois, une esthétique, une forme. J’établis alors un rapport frontal avec cette matière en utilisant le plus d’outillage possible, mais la création artistique n’était pas au rendez-vous, trop de fonction pratique. Ma quête était peut-être ailleurs ?
Il y a trois ans, ma compagne me fit un cadeau : une inscription à l’association SLO section sculpture
La révélation était là :
D’abord le facteur humain dans l’échange des émotions, des sensibilités, des symboliques et enfin des techniques qui donnent à cet ensemble les cartes de la création.
Ma matière est la tôle, les écrous, les rondelles, les fils inox ou acier.
Mes outils : la disqueuse, la pince bloc, les étaux, les marteaux, l’enclume, le poste de soudure.
Je provoque une tension parfois une pression, j’exploite la faiblesse et la courbe se matérialise parfois concave, parfois convexe, mais toujours infinie et libre. Je cherche à prendre en compte les manifestations palpables du métal en contradiction avec la froideur qu’elle représente.
Les points de soudure rigidifient et fixent la forme, l’acier est le compagnon de mon imagination, il donne à mes créations légèreté, transparence et lumière.
Chaque forme est un équilibre, un mouvement en prenant en compte ses propriétés. L’acier, je le façonne, le tords, le martèle, le chauffe tout en finesse pour qu’il exprime autre chose que ce sentiment de lourdeur. Il devient alors un objet empreint d’une identité singulière et qui relève parfois du vivant.
Christine DUMONT
Pastelliste 17, rue de la Paix- 95320 SAINT LEU LA FORET
- christine.fussydumont@wanadoo.fr
- www,christinefussydumont.net
Celui-ci m’a tout de suite séduite et suis allée visiter le musée Quentin De LA TOUR à Saint- Quentin. Ce pigment d’une richesse inouïe convient parfaitement à ma sensibilité. J’aime sa texture et les multiples possibilités de réalisation qu’il m’offre et je suis bien loin d’avoir exploré toutes les pistes.
J’aime particulièrement peindre des portraits ainsi que les fleurs et natures mortes.
Quand je peins une nature morte, je me glisse à l’intérieur et fais partie intégrante de mon sujet. J’ai besoin de m’inventer une histoire pour travailler et aller plus loin.
Lorsque je peins un portrait, c’est mon cœur qui peint et transmet les émotions que je ressens.
J’aime le côté sensuel qu’offre le pastel.
Je participe à de nombreuses expositions nationales et internationales où j’ai eu l’honneur d’être plusieurs fois primée.
Je suis membre de l’Art du Pastel en France, de la Société des Pastellistes de France, Vocation PASTEL , de l’ASPAS (association des pastellistes espagnols) PSEC (Pastel Society East Canada) etc….
En conclusion, soyez passionnés par votre art et mettez tout votre cœur dans vos œuvres. Soyez patients, opiniâtres et travaillez, travaillez encore et encore…Hélène FAUGERAS MORIN
Plasticienne 10 place de l’église 63500 BERGONNE http://hfaugerasmorin.wixsite.com/artsplastiques Je vis la création comme une vraie aventure et un voyage. Le dessin, la peinture au-devant de moi, toujours à découvrir. J’observe le monde environnant et je laisse ma fantaisie et mon imaginaire se déployer. Souvent une image ou un mot en appelle d’autres. J’aime aussi développer mon habileté, m’entraîner à faire ce que je ne sais pas faire, par jeu, par challenge, par plaisir, pour pouvoir représenter -rendre présent- au mieux, ce que je vois, ce que j’imagine, ce que je pense ou ce qui me donne envie de réagir.J’utilise très souvent une technique mixte comme le collage de papiers pour structurer les plans, puis je peins. Je dessine avec les ciseaux ou je colle des matières, je peins avec la peinture à l’acrylique par exemple et j’ajoute des graphismes ou des couleurs avec les pastels gras ou secs. Il me semble que chaque outil et chaque technique demandent une façon de voir et de sentir particulière, donc il est intéressant pour moi de changer d’outil, de détourner ou de mixer les techniques, de me surprendre toujours, d’apprendre et de partager cela dans les ateliers où j’interviens.
Mon travail tourne autour de différents thèmes selon les moments. Souvent, je tire le fil de quelque chose et telle une araignée tisse ma toile à partir d’un centre. Cela donne des « séries » ou des suites : personnages, visages, arbres, paysages… Plutôt suggérer une idée ou une émotion que raconter ou illustrer. Les images comme un carnet de route, les notes ou les traces de mon cheminement, des rencontres, des explorations diverses. C’est ma façon d’exister et d’être en lien avec le vivant.
Baccalauréat scientifique 1973
Diplômée de l’école supérieure des Beaux-Arts d’Aix en Provence mention image graphisme 1978 Formation pédagogique arts plastiques CNED 1993 Formation art thérapie INECAT Paris arts plastiques et théâtre 2001/2003 Soutenance d’un mémoire sur le processus de création artistique « Jardins, itinéraires de femme en création » Certificat d’art thérapeute 2005. Artiste plasticienne inscrite à la MDA depuis 2008. Intervenante en ateliers tous publics dans différentes structures. Expositions collectives et individuelles, salons, livres d’artiste.Daniel GERMAIN
9 rue Boris Vian 44620 LA MONTAGNE
danielgermain135@gmail.com www.daniel-germain.com Natif de Cholet, je dessine et j’aime la peinture depuis toujours !En 1979, j’intègre l’école d’Arts appliqués Brassart à Tours et découvre avec passion l’univers des arts visuels (formé en dessin par Jean Abadie.).
Pendant une dizaine années, j’exerce le métier de graphiste à Paris, Cholet et Nantes et c’est en 1992 que je m’inscris à la « Maison des Artistes » en Free lance/ peintre-illustrateur.
La peinture ne cesse de m’accompagner, parallèlement à mon activité d’illustrateur et je commence à la pratiquer.
En 2008, création et construction de mon atelier. J’expérimente une nouvelle écriture : la peinture au couteau, en matière, une peinture contrastée et fragmentée de lumières.
Mes principales sources d’inspiration sont les éléments : la pluie, le vent, les gens, le spectacle de la vie autour de moi… quelque soit le sujet !
En 2010/2013, je suis primé à trois reprises dans des salons Angevin ce fut un encouragement et depuis l’aventure continue…
En 2015, – Invité d’honneur, à Mont Jean sur Loire et Chemillé en Anjou,
En 2016, j’obtiens le Prix du jury, au Salon de printemps des Sorinières (Nantes) et le Grand prix du salon des 15ème rencontres du Val d’Anglin (Indre).
En 2017, Prix du Salon international de l’école du Thouet (deux /sèvres)
Depuis 2015, je collabore régulièrement avec Pratique des Arts (guide pratique)
J’expose régulièrement mon travail en région ( Vendée, Bretagne et Pays de Loire).
Ainsi qu’ à la Galerie Véronèse à Nantes – Exposition personnelle mars 2017
à Brest à la Galerie Regard.
«Daniel Germain aime la couleur. Elle revient toujours au centre de son discours. Parfois infime dans les toiles de l’artiste, elle n’est jamais anodine et attire invariablement l’œil du spectateur. Cette lumière, il aime la partager avec ceux qui croisent son chemin».
Danielle GRENIER
4, chemin du champ des Poix 63430 PONT DU CHATEAU Danielle telma.gre@wanadoo.frTrès tôt, je m’intéresse au dessin mais ma vie de famille et mon travail d’infirmière sont mes seuls « moteurs » jusqu’à la retraite. Durant cette période, je fais des recherches sur l’aquarelle et tente ce médium, qui à l’époque, me passionnait mais ne ne correspondait pas à ma personnalité aussi ce fut laborieux.
En 2013, je découvre par l’intermédiaire d’une amie, le pastel et ce fut une révélation. J’ai tout de suite aimé le contact de la craie, sa multitude de couleurs chatoyantes et le toucher des bâtons qui crissent sur la feuille de pastel.
Un premier prix me fut attribué et ce fut l’élément déclencheur pour continuer et me perfectionner.
Autodidacte, je pratique cette technique depuis ma découverte et en 2014 je m’inscris aux artistes d’Auvergne pour parfaire mes connaissances. Le choix du pastel reste, à ce jour, mon médium préféré,
Je peins surtout des paysages. Mon appareil photo m’accompagne partout et ce sont mes clichés qui me servent de supports pour réaliser mes œuvres. Je cherche une lumière, une atmosphère, tout ce qui me touche et bien plus encore, ce qui ne se voit pas ! La nature me surprend. A mes débuts mes pastels étaient plus figuratifs mais j’essaie d’évoluer vers la création d’œuvres plus épurées voire même proche de l’abstraction. Je n’hésite pas à faire des pochades pour construire un tableau et même à utiliser plusieurs supports. Cependant, il me reste encore à découvrir, à chercher pour progresser sans cesse mais c’est une passion : les taches de couleurs posées côte à côte me fascinent.
Depuis mes débuts, j’ai obtenu plusieurs premiers prix ainsi que quelques récompenses qui m’apportent beaucoup de satisfaction et de motivation.
Martine LE CALONNEC
Peintre/Graveur/Animatrice en Arts Plastiques 63270 BUSSEOL Martine mlecalonnec@live.fr Après une formation aux Beaux-Arts de Rennes, Aix-en-Provence et Clermont-Ferrand et parallèlement à la peinture, j’ai toujours pratiqué la linogravure, technique simple et pour moi ludique. La linogravure me donne une grande liberté. En effet, une fois la plaque gravée, j’imprime le motif sur différents supports (collages, aquarelles, photos, tissus…). Les superpositions plus ou moins aléatoires sont retravaillées au pinceau et aux encres typographiques pour que le motif obtenu fonctionne. Bien sûr, chaque tirage a une ambiance colorée spécifique. Si un motif est composé de plusieurs plaques gravées, je les agence différemment à chaque tirage. Chacun des tirages est donc unique. De plus, une linogravure peut susciter une peinture et inversement : les deux techniques se répondent.Par chance, j’ai pu choisir de vivre à la campagne. Au fil du temps, j’ai découvert cet environnement nourrissant, vivant et merveilleux grâce au jardin, promenades, collectes, croquis et photographies. Peu à peu, de nouveaux sujets sont ainsi apparus dans mon travail : le sol, l’eau, le cosmos, les racines et le végétal, la goutte de rosée, la bulle d’air : ils sont stylisés parfois à la limite de l’abstraction. Ces thèmes vont et viennent, s’entrecroisent, se superposent dans des mouvements souvent ascendants. Les techniques s’entremêlent aussi librement : une photographie prise sur le motif se transforme en toile et/ou en linogravure. Les prises de vue de détails de ces œuvres se retrouvent en abîme dans de nouvelles créations. Cet univers évoque le miracle de la vie, en apparence stable mais où tout bouge, se développe, croît vibre et se transforme. Transformation symbolisant peut-être notre croissance interne, dirigée vers plus de vie (rouge), plus de liens, et plus de joie (bulles) ?
Verticalité, mouvements ascendants, tourbillonnants, forces souterraines sombres et mystérieuses ne demandant qu’à éclore dans la lumière. Formes stylisées, symboliques, schématiques, à la limite de l’abstraction. Superposition, osmose entre la terre, le végétal et le cosmos. Le microcosme, le macrocosme, l’organique, l’énergie vitale, l’idée d’ouverture, de croissance, de développement, le sacré et le merveilleux de la vie, voilà ce que je souhaite suggérer. Passer de l’ombre à la lumière ? Silence, apaisement, espérance …
J’ai obtenu nombreuses récompenses honorifiques. Réalisé des expositions personnelles ou collectives et participé à de nombreux concours. Travaux exposés en galeries en France et en Italie.
Violette MAZZIA
Sculptrice Céramiste, 17 allée des Saules 63200 MOZAC violette@mazzia.fr _ Site internet: http//violette.mazzia.fr Enfant timide, têtue, très active, curieuse et déjà très minutieuse, je bricolais beaucoup, mais surtout j’aimais dessiner et colorier. J’ai toujours eu dans les mains pâte à modeler, crayons, pinceaux, cartons, aiguilles, tissus et toutes sortes d’outils. J’ai un besoin irrépressible de créer, et de « faire ». C’est un moment d’évasion, une respiration profonde. Une recherche pour combler un manque affectif. Depuis 2005 j’ai découvert avec bonheur le travail de la terre. Elle est thérapeutique. Sentir qu’elle se laisse apprivoiser, maîtriser, c’est rassurant. Que je la travaille dans la masse ou à la plaque, je pars de l’infini du néant pour arriver à une réalité sortie du plus profond de l’être.Dans un souci de précision, j’étudie l’anatomie de l’humain avec le modèle vivant et de l’animalier avec divers documents et films. Par la suite, je synthétise, je recherche les lignes, les courbes, les volumes simples, juste l’essentiel. Je modifie les formes avec une certaine rigueur tout en préservant une harmonie.
Le thème des « Mamas » est né de la rencontre avec les géantes des murales d’Orgosolo (Sardaigne). Ce jour-là, des émotions ont surgi, je suis redevenue petite fille : elles étaient si grandes. Ces femmes, je les installe dans des scènes ordinaires de la vie. Une transcription de sentiments simples mais essentiels. Elles transmettent la douceur, la sérénité, représentent la maman nourricière et protectrice. Elles racontent une histoire.
Une autre partie de mon travail me tient à cœur : les animaux. J’ai pour eux une affection respectueuse. Leur beauté, leur sensibilité, et leur innocence me touchent. J’espère leur rendre hommage dans mon travail.
Je participe à de nombreuses expositions personnelles et/ou collectives à travers la France.
« L’art est beau quand la main, la tête et le cœur travaillent ensemble » (John Ruskin)
Je remplacerai même « l’art est beau », par « la vie est belle quand….. »
Christine SECHER
Aquarelliste 29 rue de la Chaloux
christine.secher@orange.fr J'ai toujours ressenti le besoin de dessiner et peindre et, en 1995, lorsque j’ai découvert l’aquarelle j’ai su que j’avais trouvé la technique qui me correspondait. Pendant quatre ans, j’ai fréquenté l’atelier d’une aquarelliste professionnelle.Par la suite, j’ai effectué quelques stages avec des aquarellistes dont l’univers me touchait et me suis consacrée à beaucoup de recherches personnelles.
Beaucoup de mes aquarelles sont inspirées par la nature et le paysage et je suis aussi attirée par les traces laissées par le passage du temps. J’aime les ambiances mystérieuses et une certaine forme de simplicité et de dépouillement.
Je peins sur différents supports (coton, cellulose, synthétique) avec peu de couleurs et une recherche sur les valeurs.
A partir des années 2000, j’ai commencé à exposer et à participer à des manifestations tels que : Salons internationaux du Puy-en-Velay, de Saint-Yrieix, de Rochemaure.
Depuis 2011, j’anime régulièrement des séances d’aquarelle dans mon atelier ou à l’extérieur ainsi que des stages.
Jeanne-marie TEINTURIER
Village du Four 33950 LEGE-CAP FERRET jm.teinturier@bbox.fr Jeannemarieartiste.blogspot.com
En 1970, j’arrive sur le campus de Bordeaux-Talence , Fac de Lettres et Sciences Humaines. J’avais choisi la philo, mais, finalement, j’ai fait de la musique jusqu’au milieu des années 80.Années 90, je reviens au dessin et je choisis de travailler sur papier : Encre de chine, collages, mélange pastel gras et gouache et, surtout, aquarelle.
Entre 2004 et 2006 je change de support, de pratique et d’univers : Je viens de découvrir la peinture sur bois, sur lambris exclusivement dans un premier temps. Je sens confusément que je change aussi de communauté de créateurs. Je respire. Je comprends peu à peu qu’avec le bois je me suis offert un champ d’expression quasiment infini. Au début très narratif, mon travail est en train de se libérer de cette contrainte.
Mon support est insolite : Ce sont des lattes de bois, lambris, voliges ou parquet, de récupération ou pas. Ma technique repose sur un subterfuge immémorial qui consiste à profiter des aléas du support : Je peins toujours dans le sens du bois, mon dessin se coulant dans le dessin de ses veines. J’incorpore toutes ses singularités et surtout ses défauts dans l’élaboration de la peinture. Les lattes sont ensuite collées entre elles une fois le tableau terminé. Celui ci, pour finir, est fixé à son tour sur une pièce de bois qui le consolide.
Avant de commencer à peindre j’ai une vision globale du tableau à naître, vision assez précise pour ne pas m’éparpiller mais assez floue pour laisser passer la spontanéité de l’imagination et saisir les impromptus du bois. Parmi ceux qui regardent , certains refusent de « se laisser embarquer » dans ces rayures qui « leur donnent le vertige ». Les autres voient ce qu’ils veulent voir et leurs interprétations ne cessent de m’étonner.
Depuis 2009, j’expose en France et en Belgique dans diverses rencontres d’art actuel, festivals, biennales , salons et galeries.